Le Bac à Léon, c’est fini.
En tout cas dans la version récifale actuelle.Il y aura sans doute une suite, mais dans une configuration totalement différente.
Maintenir un petit mètre cube de récif à sept cents mètres d’altitude est finalement gourmand en énergie(s) et fait lourdement payer l’addition à la nature en prélèvements.
Moins de sels, moins de vagues, moins d’énergie, moins complexe.
A suivre …
P.S: En exclusivité, quelques photos du nouveau bac ici.